~ surnom : à vous de voir ~ âge : 20 ans ~ date et lieu de naissance : 18 novembre 1992, Paris ~ orientation sexuelle : non déterminé ~ statut civil : célibataire ~ études ou métiers : étudiant en économie ~ signe particulier : une arrogance chronique ; il est néerlandais ; son père est un grand homme d'affaires ~ groupe : Nobody likes you ~ avatar: Robbie Wadge ~ personnage inventé ou non : inventé
Caractère Roy est l'arrogance née. Pour lui, tout est une question de richesse : il méprise toute personne qui n'est pas millionnaire et n'éprouve de vrai respect pour une personne qu'à partir du moment où elle est milliardaire. Autant dire que cela restreint le nombre de personne qu'il apprécie. Mais si vous réussissez à rentrer dans ce groupe, vous vous rendrez compte que Roy est un jeune homme parfaitement normal, qui s'investit dans ses études et adore faire la fête dans les endroits branchées de la ville. Pour comprendre Roy, il faut simplement savoir qu'il est très attaché aux apparences. Ainsi, face au commun des mortels, il fait tout pour prouver sa supériorité, que ce soit par ses vêtements de grandes marques (mais nous n'en ferons pas la publicité, ils n'apprécieraient pas de se voir attachés à lui) ou bien par une façon de parler qui est loin d'être celle qu'il emploie avec ses amis, c'est-à-dire très sophistiquée. Preuve que tout cela n'est qu'apparence, à force de fréquenter Camden, Roy a fini par connaître également l'argot anglais.
Style Roy aime s'habiller avec élégance. L'apparence doit selon lui montrer la richesse. S'il a un goût fasciné pour la mode, il évite tout ce qui peut paraître négligé, à tel point que vous ne le verrez jamais en pyjama, même si vous venez chez lui à l'improviste : s'il n'est pas vêtu, il sera au moins recouvert par une immense robe de chambre noire. Plus généralement, il apprécie beaucoup l'apparence du gentleman anglais – du moment qu'il peut se saouler à volonté le soir venu.
J'te fascine hein ? Viens on parle de moi
Mon père est riche, si riche qu'il pourrait probablement acheter tout Camden. Vous voyez le genre. C'est bien la seule qualité que j'ai trouvée au bout de toutes ces années de vie commune, et pourtant, j'ai fait des efforts pour être ouvert d'esprit. J'ai longtemps cru qu'il m'aimait pour ce que j'étais, mais je me suis bien rendu compte que ce n'était pas le cas : tout ce qu'il aime en moi, c'est l'héritier à qui il va léguer son immense fortune. Il est tellement égocentrique que j'ai le même nom que lui. Je lui ai dit que je trouvais cela ridicule, mais il trouve que c'est de bon goût. « Ben voyons » fut la réponse que j'adressai à cette remarque exaspérante. J'ai depuis longtemps abandonné tout espoir de bien m'entendre avec lui. Vous vous demandez sans doute ce qu'un mec comme moi fait à Camden. Je suis riche, jeune et je réussis brillamment mes études. Vous vous dites que mon père aurait pu me payer n'importe quel bel appartement à Londres, avec une vue imprenable et beaucoup d'espace. Cela paraîtrait logique, non ? Eh bien, mon père ne connaît pas d'autre logique que celle des affaires. L'argent, toujours l'argent, rien que l'argent. Quant au fiston, il prendra le peu de reste que je le lui laisse. Ça marche toujours ainsi avec lui. Mon père n'est pas avare en ce qui le concerne. En revanche, dès que je touche à son argent, il se crispe. Pendant dix-sept ans, nous avions réussi à nous contenir l'un l'autre. Mais à mon dix-septième anniversaire, toute la tension que nous avions accumulé pendant toutes ces années a rendu la situation explosive. Pour faire court, il m'a reproché d'être un débauché qui dilapidait son argent. Je répondis qu'il n'était qu'un vieux grippe-sou qui ne savait pas profiter de la vie. Remarque que mon cher père n'a guère apprécié : il m'en veut encore, puisqu'il surveille depuis scrupuleusement toutes mes dépenses. Vous auriez du mal à comprendre ce que cela signifie exactement, car pour vous, cette surveillance prend très largement en compte ce que vous considéreriez comme des dépenses exceptionnelles. Pour moi, ce fut en revanche une véritable torture. Il a fortement limité mon autonomie, et je ne peux plus acheter une voiture quand bon me semble (à mon grand regret, car j'avais commencé une très jolie collection de couleur exclusivement bleu lagon). Et cela empire avec les ans. Quand je fus accepté à Londres, à la plus grande joie de ma mère, mon enthousiasme retomba vite lorsque nous eûmes ce qu'il appelle une « discussion entre hommes » où il m'énonça les conditions pour que je parte. J'eus droit à un budget très serré (qui vous paraîtrait certainement très confortable) et l'obligation de m'occuper seul de mon installation à Londres. C'était il y a deux ans. Pour résumer le changement opéré, j'ai vécu toute ma vie dans le luxe le plus grand, sans jamais me demander comment se remplissait le réfrigérateur ou comment nettoyer sa salle de bain. Mais depuis que je suis étudiant, je vis dans un taudis minuscule, j'ai dû revoir mes priorités et mes voisins sont tous plus étranges les uns que les autres. D'autant plus qu'à cause de mes vêtements fringants et de mon regard hautain, je me suis déjà fait tabassé plusieurs fois par des personnes qui n'appréciaient pas forcément ma manière d'agir. Je le reconnais, je les avais un peu provoqués. Mon père me prenait pour un débauché, mais je crois que j'en ai vu des vrais là-bas. Cela étant, je ne peux pas vraiment me plaindre : si je veux conserver mon train de vie avec mes amis londoniens, je dois faire des sacrifices, et j'ai préféré abandonner le bel appartement avec vue sur la Tamise pour vivre là où ça correspondait mieux à mes maigres restes. La plupart de mes amis ne disent rien : ils n'ont pas de budget limité et ils sont bien plus sages que moi. Ils savent surtout que mon père est bien plus riche que les leurs, alors ils évitent de me froisser. Seul mon meilleur ami ose me faire parfois des remarques, mais il me ressemble trop pour m'en vouloir. En outre, c'est le seul dont la famille est vraiment bien plus riche que la mienne, ce qui est un exploit dans son genre. Je me suis quand même habitué à vivre à Camden. Tout le monde n'est pas aussi étrange que mes voisins, et certains seraient presque gentils (il leur manque simplement un bon milliard pour que je leur prête attention). À force, je sais aussi comment éviter de me faire tabasser. Et j'ai même arrêté de fumer. Cette nouvelle a fait très plaisir à ma mère. En revanche, quand je sors, je bois toujours autant.
Je me définirais comme un international. Je parle anglais couramment et je maîtrise bon nombre d'autre langues européennes : en premier lieu, le néerlandais, qui est ma langue maternelle, mais aussi l'allemand et l'espagnol. Plus récemment, j'ai commencé l'apprentissage du danois. Depuis mon plus jeune âge, je manipule les textes anciens latins ou grecs, que je lis désormais sans traducteur ni dictionnaire. Mon père pense en effet qu'il est de mon devoir d'être d'une grande culture, car selon lui, je manquerais de charisme – je ne vois pas du tout où il va chercher cela – et cela est donc un autre moyen de briller en société. J'eus déjà l'occasion de tester ma culture auprès des amis hauts-placés de mon père (vous n'ignorez pas qu'à ce niveau, tout le monde est ami avec tout le monde), et je dois avouer que cela a bien fonctionné. Aux yeux de l'État, je suis néerlandais. Mais globalement, j'ai passé assez peu de temps aux Pays-Bas : on y trouve le domaine familial, mais mon père voyage beaucoup. Ma mère et moi l'avons suivi pendant des années (jusqu'à ce que je décide d'aller étudier à Londres, j'avais bien aimé cette ville). J'ai visité une bonne partie de l'Europe et de l'Amérique du Nord. En premier lieu, je suis né et j'ai passé les deux premières années de ma vie en France, mais j'en ai conservé peu de souvenirs. En revanche, ceux-ci sont plus marqués pour mes séjours en Allemagne, en Espagne, au Royaume-Uni et aux États-Unis. Ah, Londres... ville la plus chère d'Europe, ville-monde. Je m'y étais senti comme un poisson dans l'eau. J'y étais venu deux fois auparavant : à six ans, tout d'abord, puis j'y avais passé trois ans au début de mon adolescence. J'y avais trouvé un air particulier, une façon de vivre à ma juste mesure. Ce fut à ce moment-là d'ailleurs que je fis connaissance de mon meilleur ami. Nous étions immédiatement tombé d'accord sur quantité de sujets importants, comme par exemple les dix choses les plus importantes à faire dans sa vie (inutile que je vous les récapitule, nous avons vu particulièrement grand) ou encore à partir de quand il est possible de considérer qu'une personne a réussi sa vie (et quand je dis « quand », je parle bien sûr d'une certaine somme d'argent). Il est comme moi, mais en plus grand : d'abord, au sens littéral, puisqu'il atteint le mètre quatre-vingt dix, ce qui est loin d'être mon cas, et qu'il a un bon an et demi de plus que moi. Mais aussi au sens figuré : vous me pensiez peut-être excentrique en voyant que je possédais une collection de voitures bleu lagon, mais lui-même possède plusieurs avions (de différentes couleurs, cette fois-ci), tandis que moi, je dois me contenter de ceux de mon père. Il est donc non seulement plus riche, mais aussi plus dépensier que moi. Il possède même de plus grandes qualités que moi : je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi généreux, même s'il est vrai que ses dons envers les nécessiteux ont une forme de condescendance. Cependant, il est aussi très généreux avec moi, en particulier lors des fins mois – que voulez-vous, avec mon caractère, j'ai tendance à me retrouver à sec avant le virement qu'effectue mon père tous les premiers du mois avec une régularité très précise. Le seul domaine où il m'égale est finalement le domaine scolaire, où j'ai énormément de facilités. Nous formons une paire bien assortie.
Ma vie paraît idéale, si on regarde celle-ci de loin. De près, la façade du jeune homme aux cheveux et aux yeux clairs se fissure. Ne serait-ce parce que j'éclaircis mes cheveux depuis l'âge de quinze ans, ce que seul mon meilleur ami sait. Chacun sait qu'une gueule d'ange comme la mienne cache toujours de lourds secrets. Pour ma part, c'est celle d'une tristesse infinie que je ne m'avoue jamais. J'ai de quoi être heureux malgré mes problèmes d'argent, mais ça ne suffit pas. Je ne suis pas totalement à plaindre, puisqu'à ce jour, je ne souffre ni de misère, ni de maladie, ni d'addiction. Mais parfois, du haut de mon immeuble, à travers la fenêtre qu'une femme de ménage nettoie à mes frais, je regarde la vie qui s'agite en bas de chez moi. Je me sens triste. J'ignore cependant si je suis triste de ne pas être comme eux, ou qu'ils puissent exister. Je n'ai jamais cherché à le savoir. Enfant déjà, j'avais ces instants de mélancolie. J'y étais encore plus sujet qu'aujourd'hui, car je changeais souvent d'école, d'où ma difficulté à garder mes amis. Parfois, la barrière de la langue s'imposait, même si je finissais toujours par la vaincre. Ces vieux bâtiments privés avaient sur moi un drôle d'effet. Lorsque je regardais leurs façades, j'avais l'impression de rater quelque chose de profond. Par conséquent, il m'arrivait parfois d'avoir envie de remplir un vide. Quand je rentrais à la maison, mon père était rarement là. Il venait de temps en temps passer un week-end en famille, puis il repartait aussi vite qu'il était revenu. Il arrivait parfois qu'il ne me parlait pas du week-end. Je n'avais que ma mère sur qui compter, et sur une gouvernante qu'ils trouvaient convenable d'engager. Ma mère était ravie de sa situation. Elle n'avait jamais vraiment voulu d'enfant, mais elle s'était bien rendu compte que c'était une nécessité pour la dynastie familiale. Elle m'avait donc fait moi pour que je remplisse mes fonctions. Si elle ne m'avait pas voulu, je puis assurer qu'elle m'aimait, et qu'elle m'aime encore. Elle s'est toujours montrée très attentionnée envers moi, sauf sur deux points : mon éducation, domaine où elle se fiait entièrement à l'avis de mon père, et mon père lui-même. La gouvernante désignait une jeune fille bien élevée qui venait de je ne sais où. Elle était orpheline et tirait de très bons revenus du travail qu'elle occupait. Elle savait se montrer stricte et douce à la fois. J'avais le droit à une oreille attentive, mais lorsque je lui parlais du vide, elle ne me comprenait jamais. Elle était complètement idéaliste, puisqu'elle n'avait jamais eu à se frotter au monde réel.
Adolescent, j'avais évolué. Sur le plan scolaire, je m'efforçais toujours d'être impeccable, comme c'est le cas aujourd'hui : malgré tout ce ressentiment contre lui, je sais que mon père y accorde beaucoup d'attention, et ma mère encore plus. En ce qui concerne ma vie privée, je devins ce « débauché » selon mon père. À mon retour de Londres, nous ne quittâmes plus les Pays-Bas ; en revanche, la gouvernante nous quitta, attirée par un salaire supérieur dans une famille concurrente. Pour le coup, je me sentais vraiment seul à la maison le soir. Je ne voyais ma mère qu'au dîner. Le reste du temps, je m'enfermais dans ma chambre ou j'étais de sortie. J'eus pour la première fois accès libre au compte bancaire familial, ce qui me combla rapidement. De là commencèrent mes petites folies... et le début de ma collection de voitures bleu lagon. Puis il y eut les fêtes entre amis. Et les filles. Pour les demoiselles qui liraient ceci, je suis bien navré, mais je me dois de casser l'image de gueule d'ange que je porte. Les filles en elles-mêmes, je résumerais ce que j'en pense à « je m'en fous », pour rester correct – d'expérience, je sais qu'il ne faut pas contrarier les demoiselles. En revanche, la relation avec une fille est bien plus intéressante, et pas que la relation charnelle, pour celles qui auraient des doutes. Je ne suis pas misogyne, mais, voyez-vous, si je devais me restreindre aux seules filles multi-milliardaires de mon coin, je finirais pas m'ennuyer. Elles font de très bonnes amies, mais pas de bonnes petites amies. Alors oui, je le reconnais, je vais souvent en chercher dans l'autre catégorie. Mais que les demoiselles se rassurent, je ne suis pas un grossier personnage. Tout d'abord, je suis très fidèle. Ensuite, je prends le temps de construire une véritable relation avec chacune d'entre elles. C'est seulement lorsque je sens que nous sommes arrivés au bout et que notre incompatibilité est trop grande que je les abandonne. Cela a de quoi vous rassurer. Les romantiques me parleront d'amour. Pour ma part, je considère que ce n'est rien d'autre qu'une réaction chimique destinée à la reproduction. En d'autres termes, je m'en débarrasse facilement. Cela ne veut pas dire que je n'éprouve pas quelques sentiments. En général, je carbure à une petite amie par an. Je dis bien « carburer », car pour moi, c'est comme l'essence pour une voiture : je ne me vois pas fonctionner sans. Vous voyez que je ne suis pas le pire salaud du monde : je méprise peut-être mes petites amies, mais je ne vais pas coucher partout sous prétexte que j'aime ça. Cela ne colle absolument pas avec l'image d'un fils de multi-milliardaire intellectuel et brillant dans ses études – c'est en particulier ce que pense mon père.
Lorsque je vins pour la première fois à Camden, je ne pus m'empêcher une grimace qui ne passa inaperçue. Assurément, c'était loin du confort six étoiles auquel j'avais été habitué. Je détestais tellement l'endroit que je me suis attiré la colère d'un groupe de natifs, qui n'a rien trouvé de mieux, pour mon premier jour, qu'un passage à tabac en règle. Bienvenue à Camden, Roy. Je ne vous raconte pas non plus la tête que je fis lorsque je découvris mon appartement. En photo, il avait plutôt pas mal, mais j'étais manifestement très mal informé dans le domaine immobilier. Vous auriez dit qu'il y avait le confort moderne, quoiqu'un peu rudimentaire ; mais moi, j'avais l'impression d'être revenu à la préhistoire. Et cela empira encore lorsque je découvris mon charmant voisin de palier, un homme d'une trentaine d'année que je n'ai jamais vu sobre et qui se plaît à se prendre pour un artiste. Si apparemment, tout l'immeuble était habitué à ses récitals nocturnes, c'était loin d'être mon cas. Lorsque je le lui fis remarquer, il se mit à me menacer d'un ton si sincère que finalement, je trouvai la force de supporter ses récitals. À la longue, ils ne sont pas si laids que cela, même si cela ne vaut pas les concerts de musique classique qu'en bon riche je me dois de fréquenter – question de prestige social, voyez-vous. Finalement, cette arrogance que j'affiche est ma meilleure arme contre ceux que j'appelle « les fous de Camden ». Moi qui plais dans mon milieu social, je me fonds dans un milieu assez hétéroclite. Tous ne sont pas aussi fous que mon charmant voisin, mais certains me paraissent infiniment pire – ce sont qui m'ont tabassé les deux autres fois, un soir où j'ai eu le malheur de me tromper de rue et d'avoir refusé d'acheter leurs marchandises, et une autre où je me suis énervé contre un homme qui m'avait bousculé en pleine rue. Mais, de manière générale, ils détestent le sourire moqueur que j'ai en permanence – et comme je ne m'en sépare jamais, ils n'ont pas cherché à le faire disparaître de mon visage. Ma voisine de dessous est la plus sympathique habitante que je connaisse. Cette vieille dame avait toujours vécu dans le quartier, mais elle était d'une intelligence rare. Qui plus est, elle savait se faire respecter, et mon charmant voisin avait toujours joué moins fort quand elle le lui avait demandé. Ce fut elle qui vint vers moi lorsqu'elle me remarqua la première fois, tant je faisais tache dans le paysage – à vrai dire, le seul paysage où je ne fais pas tache est celui du luxe, mais passons. Elle me trouva original et depuis, elle m'invite régulièrement à prendre le thé. Elle s'intéresse beaucoup aux sorties culturelles que je fais (et pas les fêtes, évidemment), bien que j'ignore pourquoi pas. J'ai fait une entorse à mon classement pour elle. Elle est loin d'être millionnaire, aussi est-ce sa gentillesse et sa force qui m'ont plu chez elle. Lorsque j'ai le cafard, je me rends chez elle. Elle me réconforte très bien. Elle arrive même à m'inciter à faire quelques courses pour elle.
Au final, je ne regrette pas mon choix d'habiter à Camden, en particulier quand j'en sors pour rejoindre mes amis. J'ai un peu de regret quand mon charmant voisin pousse la chansonnette, mais ce n'est que ponctuel. Et lorsque le vide refait surface, je me poste à la fenêtre. Alors je sens en ce quartier la vie qui s'exprime sous une forme plénière, et je me sens heureux de la voir s'épanouir.
il fallait bien que le masque tombe
~ prénom et petit surnom : appelez-moi Rieser ~ âge : plus jeune que Roy ~ pays : son pays de naissance ~ fréquence de connexion : 02/07 ~ niveau de rp : pas mauvais ~ première impression sur le forum : fort sympathique ~ comment as tu connu le forum ?: en flânant ~ double compte : non ~ code du reglement : Shenanigans ~ autre petite chose : je suis aussi imbuvable que mon personnage
All about you ▬ Your Relationship: ▬ Sujet en cours :
Sujet: Re: Roy L. Winter ♣ 03.11.12 11:23
Wooouah Bienvenue sur le forum, et ta fiche , Roy , j'adooooooooooooore Et bien je te valide donc , bienvenu sur le forum encore une fois, et surtout bienvenue chez les Nobody likes you J'espère que tu t'éclateras , et n'hésite pas aussi à voter pour le forum, flooder, et rp bien sûr hein A très vite car Delilah va vouloir un liiien