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Sujet: Il y a des secrets qui doivent rester des secrets. ~ Melinda 14.12.13 23:14
Mélinda Penélope Chamberlain
« Nikki Reed »
~ surnom : Mely ~ âge : 23 ,s ~ date et lieu de naissance : 17 mars 1989 - Manchester ~ orientation sexuelle : Hétérosexuelle ~ statut civil : Célibataire ~ études ou métiers : Libraire - Bibliothécaire ~ signe particulier : tatouage au poignet. ~ groupe : The Underbully~ avatar: Nikki Reed ~ personnage inventé ou non : oui
Caractère Mélinda est quelqu'un qui, généralement, ne se prend pas la tête avec des futilités. Elle n'aime pas quelqu'un, elle n'hésitera certainement pas à le lui dire. Non, ça, pour ça, elle ne prend pas de gants pour ce qu'elle considère comme des futilités. Elle est parfois très brute dans ses mots, ce qui est en opposition totale avec ses gestes. Elle n'aime pas parler d'elle, sa vie n'intéresse qu'elle, et personne d'autre. Autant Mélinda peut être quelqu'un de gentil avec les gens qu'elle apprécie et en qui elle donne son entière confiance, autant elle peut être pernicieuse, froide et des plus désagréables avec quiconque en qui elle n'a aucune confiance, et quelqu'un qu'elle connaît peu.. Ou même quelqu'un qui essaie de la connaître sans qu'elle ne le veuille. Généralement, elle est très passive, et ne montre jamais vraiment trop sa joie. Sauf quand elle est des plus réelle. Malgré tout ça, Melinda se serait donnée pour les gens qu'elle aime, elle est assez généreuse. Elle est hypersensible, mais ça, personne ne le sait, car pour elle, montrer ses sentiments revient désormais à une faiblesse que les autres exploitent trop facilement, alors elle n'hésite pas à passer pour la grosse conne qui ne ressent rien. D'ailleurs, c'est souvent ce qu'il se passe. Elle n'est pas vraiment altruiste, malgré tout, elle ne va pas vraiment vers les gens, et ne fait pas d'efforts pour les inconnus. Elle n'est pas vraiment patiente, et plutôt rancunière. Elle peut s'énerver facilement, se vexer et partir, sans rien dire, et ne plus adresser un mot à une personne pendant une longue période. Il n'y a qu'une seule personne pour arriver à la calmer : son meilleur ami, qui est le frère qu'elle n'a jamais eu.
Style Au départ assez classique pour une londonienne fan des Beattles, des Clash, Nirvana, Rolling Stones, Police et autres groupes de rock assez anciens, pour la plupart des groupes séparés, qui n'existent plus, Melinda a su s'adapter au style des autres filles de la villes, pour ne plus ressembler à un garçon manqué, mais plutôt à une fille comme les autres, étant plutôt bon chic bon genre. Ce changement peut également être expliqué par un moment de sa vie qui l'a fait changer à la même période de caractère.
J'te fascine hein ? Viens on parle de moi
"Des fois, je me demande ce qu'ils me veulent, à me regarder comme une bête de foire. Je suis comme eux, deux yeux, un nez, une bouche, deux jambes et deux bras.. - Ce n'est que ton histoire qui es différente, Melinda.. Et ils ne connaissent pas ce que tu vis.. Généralement, les gens ont peur de ce qu'ils ne connaissent pas."
Enfant adopté, oui, voilà, ce que je suis. Mes parents biologiques sont des gens peu fréquentables, il faut l'avouer. Mon père a fait dix années de prison, avant d'être finalement emprisonné à vie, très peu de temps avant ma naissance. Ma mère, une junkie, n'a pas supporté la séparation avec l'unique personne qu'elle aimait, elle mise à part. Elle m'a abandonnée à la porte du premier orphelinat, avec une lettre qu'elle me destinait. Une lettre que j'ai pu relire plus d'un millier de fois. Maintenant, je connais les quelques mots qui y sont inscrits par coeur : Pardon. Mais sans lui, ma vie n'est rien. Oui, ma mère avait tout l'air d'être un quelqu'un de très courageux, n'est-ce pas ? Je ne l'ai jamais vue. Et d'un certain côté, heureusement pour elle, parce que je lui aurais très certainement craché à la figure. Je n'ai jamais été adoptée, malheureusement pour moi. J'ai fait de nombreuses familles d'accueil. Les membres de ces familles me voyaient comme ce qu'on appelle un cas social. Oui, le genre de cas irrécupérable. Je ressemblais à un petit garçon, avec mes cheveux couleur or attachés en une queue de cheval basse, et à emprunter les vêtements de mes frères d'accueil. Je faisais tout comme eux, à grimper dans les arbres, à jouer au foot. Apparemment, ce n'est pas la chose à faire lorsqu'on est une fille, puisque ça revient à être "une enfant perturbée". Mes différents et nombreux parents d'accueils m'ont tous fait aller chez un psy. Parce que, apparemment, ils n'étaient pas les seuls à me montrer du doigt en pensant que j'avais certainement un problème, parce que j'avais été abandonnée. Mais en fait, non. Ma vie me semblait parfaite, même si elle n'était pas vraiment stable. Les enfants de mes écoles étaient méchants avec moi, et même si je gardais la tête haute, leurs réflexions étaient dures. Très dures. J'en pleurais souvent, une fois chez moi, et c'était ce que le psy me faisait le plus exploiter pour aller mieux. Mais pourtant, je n'avais pas de problème, sauf peut-être le fait de subir la méchanceté des autres. Qui ne m'atteignait pas toujours. Le psy qui s'est occupé de moi pendant mon enfance était un quelqu'un de très gentil, qui avait de la patience, et surtout beaucoup de compassion envers moi. Pendant longtemps, je l'ai considéré comme mon unique et surtout meilleur ami.
Puis, j'ai changé de ville, pour venir vivre à Londres, dans une famille d'accueil qui avait demandé à s'occuper de moi. Il faut avouer que le changement m'avait beaucoup fait pleurer, plus que jamais je ne l'avais fait. A douze ans, quand on n'a déjà pas de repère, venir dans une ville inconnue, dans laquelle les quartiers sont un immense labyrinthe n'est pas forcément la meilleure idée. Et ce, même lorsque jusqu'ici, votre vie est des plus minables, même si vous n'êtes pas assez lucide pour vous en rendre compte. Je suis allée au collège, où cette fois-ci, je n'étais pas considérée comme un animal de foire, où j'étais tout simplement comme les autres. La vie semblait enfin me sourire, d'autant plus que la famille dans laquelle j'ai atterri a été très patiente, très gentille, et a toujours tout fait pour me garder avec eux jusqu'à ce que j'aie l'âge minimum requis pour pouvoir me débrouiller seule. Le fils de la famille a toujours été là pour moi, me considérant comme sa petite sœur, et agissant comme un vrai frère. Ou plutôt comme ce que j'imagine qu'un frère fait envers une sœur. J'ai commencé à me faire des amis, et puis, j'ai eu mon premier petit ami à 17 ans. Nous sommes restés près d'un an ensemble. Nous nous sommes séparés parce qu'il ne me réservait pas l'exclusivité, mais plutôt à celle que je considérais comme étant ma meilleure amie, qui était également la petite amie de mon frère d'accueil. Mon désormais ex avait simplement fait un pari avec ses amis et avec elle, parce que je ressemblais à une proie facile, une fille perdue, avec mes t-shirts de rock, de musique, et mes pantalons trop larges.. Je les ai détestés, j'ai eu envie de les faire souffrir comme eux l'avaient fait pour moi. Oui, j'ai toujours été très rancunière, mais cette fois-ci, c'était limite plus que d'habitude. Les gens semblaient, tout au long de ma vie, s'être ligués pour me la rendre plus compliquée à supporter. Et mon extrême gentillesse, gentillesse bien trop naïve n'avait fait qu'empirer les effets de cette union désunie et diabolique. Du coup, pour amoindrir ses effets sur moi, et sur ma vie, j'ai, au fur et à mesure, changé du tout au tout. Fini la petite fille naïve et faible, qui s'habillait comme un garçon, et qui était docile. Au fil du temps, je suis devenue certes plus renfermée, mais surtout beaucoup plus reculée de cette vie que les gens attendaient de moi. Ce changement s'opéra d'abord par ma grande perte de poids. Non, je n'ai jamais été particulièrement grosse, mais pas non plus bien mince. La boulimie que j'avais développée suite à la rupture m'avait beaucoup aidée. Je m'étais également teint les cheveux en brun. Fini les cheveux blonds, qu'on remarquait de bien loin, surtout lorsqu'on portait des vêtements sombres. Mon but était de passer plus facilement inaperçue, pour ne pas tomber sans cesse sur des abrutis. Et puis, pour ce qui était des vêtements, je décidais de tout changer, pour ressembler plus aux jeunes femmes de mon âge. Sûr que c'était beaucoup moins original, mais beaucoup plus féminin et passe-partout. Un style bon chic bon genre, ce que les jeunes appellent "la mode".. Jusqu'ici, les gens se foutaient de moi ? A moi de me ficher complètement de eux, de leurs petits problèmes existentiels. Le plus simple était de ne pas leur faire confiance, sauf si je les connaissais depuis un certain temps, ou qu'ils étaient vraiment dignes de confiance. Cela pouvait se remarquer aux premiers mots, aux premières réactions qu'ils avaient sur des actions que je faisais, peut-être pour tester leurs capacités à réagir. Changement radical, et presque du jour au lendemain, pour certains, me diriez vous. Mais il était nécessaire pour que je puisse survivre. Cependant, pour mon métier, je sais garder un sourire. Mieux vaut ne pas faire fuir les clients.
J'ai fait des études de lettres, puis, j'ai décroché un boulot de libraire. Cela me permet de me payer une vie en colocation. Oui, ce n'est pas le mieux, mais pour le moment, ça me suffit, d'autant plus que mes colocataires ne sont pas désagréables, même si parfois leurs petits problèmes m'horripilent, de même que leurs vies qu'elles passent leur temps à raconter. Après, je ne dis pas non plus être la meilleure coloc' au monde non plus, je passe mon temps dans ma chambre, je ne leur parle pas beaucoup, et généralement, quand je le fais, c'est pour me plaindre de leurs conceptions de la vie en communauté. Mais apparemment, les colocs me supportent, puisque je ne me suis pas faite encore virer.
" Et s'ils ne m'aiment pas ? - Tu ne dois pas t'en inquiéter, tant que tu restes toi-même. Et que tu sais plus de choses sur toi que eux ne le sauront jamais."
il fallait bien que le masque tombe
~ prénom et petit surnom : Naïs et Mélaïs/Black Dream ~ âge : 18 ans ~ pays : France ~ fréquence de connexion : Comme je peux.. au moins 01/07 ~ niveau de rp : un minimum de 15 lignes~ première impression sur le forum : j'ai eu un coup de coeur ~ comment as tu connu le forum ?: Via Facebook ~ double compte : Non ~ code du reglement : blablabla ~ autre petite chose : blablabla
Dernière édition par Melinda P. Chamberlain le 16.12.13 21:29, édité 6 fois
Sujet: Re: Il y a des secrets qui doivent rester des secrets. ~ Melinda 15.12.13 23:01
C'est parti pour la coloooooooc
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Tu es désormais validé(e). Tu fais donc parti(e) des membres de Are We The Waiting et du groupe The Underbelly. Tu peux désormais créer ta fiche de lien par ici puis tu peux aussi chercher un logement et un métier par là. En tant que membre tu peux aussi le forum à évoluer en votant, en postant dans les pubs sur PRD et/ou Bazzart. Donc voilà Encore merci de ton inscription, et amuse toi bien parmi nous !!!
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Il y a des secrets qui doivent rester des secrets. ~ Melinda
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