ARE WE THE WAITING
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Are We The Waiting
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Bienvenue petit visiteur, on t'attend vite sur le forum Very Happy
N'oubliez pas un petit vote pour soutenir le forum !
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Kase Rivers

Kase Rivers


▬ Messages : 98
▬ Arrivé(e) le : 14/07/2013
▬ Points : 46
And More
Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE) Vide
MessageSujet: Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE)   Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE) Empty14.07.13 23:48


Kase  Oliver Rivers

« Jake Cooper »

~ surnom :  son prénom suffit. ~ âge : seize ans ~ date et lieu de naissance : 20 octobre 1996 ~ orientation sexuelle : indifférent  ~ statut civil :  célibataire ~ études ou métiers : squatteur ~ signe particulier : de petite taille, un peu trop maigre, vit dehors, réfléchit trop, un léger accent allemand ~ groupe : claustrophobic minds ~ avatar:  Jake Cooper ~ personnage inventé ou non : oui

Caractère On dit de moi que je répète les erreurs de mes parents parce que je n'ai pas envie de remettre en question l'image que j'ai d'eux en devenant meilleur qu'eux. C'est vrai, en un sens : j'ai toujours eu l'habitude de vivre dans l'indigence, si bien que je ne m'imagine même pas ce que c'est que de vivre normalement. Les grandes idées ont tendance à me passer au dessus de la tête : je me moque sincèrement de savoir ce qu'a écrit Untel ou ce que soutient Bidule. Je supporte mal les contraintes et les critiques ; j'aime me sentir libre comme l'air et aller à l'encontre des règles préétablies. Je suis plutôt calme et prend la vie comme elle vient, mais lorsqu'on me cherche, on me trouve. Je suis serviable et je ne refuse jamais d'aider si on m'aide en retour, même si j'ai l'air de m'ennuyer ferme ou de vouloir me tuer, parfois. On me dit que je réfléchis trop, que je ne peux rien faire sans me laisser porter par ma tête. Parfois, oui. Parce que vous croyez qu'avec la vie que je mène, je peux me permettre d'être négligeant ? C'est vrai que je ne suis pas du tout passionné et que je souris peu, mais parfois, oui, je me laisse porter par les événements. J'aimerais trouver un sens à ma vie, et c'est pour cela que je suis ici. Pas vous ?
Style Peut-on vraiment parler de style quand on ne fait pas de vrai effort pour se vêtir ? Ça fait tellement longtemps que je n'écoute plus mes préférences, si bien que je ne sais même plus ce que j'aime. En tout cas, je porte ce que je trouve, ce qui veut dire que je peux avoir tous les styles du monde, mais sans jamais être totalement élégant non plus. Il y a toujours quelque chose en moi qui fais que je parais ce que je suis : un jeune paumé d'une grande ville. Qu'importe si ce n'est pas à la mode ou si ce n'est pas de mon âge : je prends ce que je trouve. Par conséquent, j'ai un style assez impersonnel, puisque c'est le résultat de mes recherches et que je ne conserve rien de vraiment personnel avec moi.  


J'te fascine hein ? Viens on parle de moi


Quelle que soit la passion meurtrière qui te frappe, mon brave, n'oublie jamais de faire face et de te relever. Te relever, encore et toujours, tant que tu le peux,  jusqu'au jour de ta mort, et peut-être même après.
Je connaissais quelqu'un qui appliqua cette règle jusqu'à la fin de sa vie. De nombreuses fois, il aurait pu abandonner. Il n'avait pas choisi la voie la plus aisée, on pouvait même dire qu'il faisait tout pour se mettre des embûches. Mais même lorsque le sourire le quittait et qu'il marchait comme un zombie dans les rues de Camden, jamais il ne laissait tomber.

Toutes les histoires devraient commencer de la même manière : deux parents, une maison, et un enfant, notre héros, qui venait agrandir le foyer. Choyé durant ses premières années à la maison, il découvrirait les joies de la vie en communauté à l'école, où il se ferait ses premiers amis, ceux qui comme lui avaient connu la vieille institutrice trop sévère et les longues soirées d'été à jouer dehors. Ses notes seraient correctes, car il était un élève studieux qui ne perturbait pas la classe. Puis viendrait le temps de l'adolescence, où les choses sérieuses commenceraient. Voilà une enfance typique et idéale comme on aurait aimé en avoir une.
De toutes ces choses, Kase n'a eu que la maison. Et encore : si on pouvait qualifier de maison la baraque mitoyenne toujours inachevée dans laquelle il avait grandie. En guise de parents, il n'avait qu'un père  attentionné mais dépassé par les événements, puisque sa mère était partie avec un autre en abandonnant le petit derrière elle. Le bébé avait trois mois et il n'avait pas compris comment il était possible d'abandonner ainsi son enfant. Elle n'était pas prête à être mère, voilà tout : elle avait pensé qu'elle en avait envie, mais elle s'était vite rendue compte du travail que cela représentait, des nuits raccourcies et des précautions à prendre. C'en était trop pour elle. Juste avant que Kase fût en âge de dire ses premiers mots, elle avait disparu de sa vie en ne laissant qu'un mot derrière elle.
Son père avait pris soin de lui, bien sûr. Il avait fait comme il sentait qu'il fallait faire, ce qui impliquait quelques erreurs plus ou moins bénignes : ce fut d'abord un lait trop chaud ou un bain trop froid, parce qu'il n'avait pas de coup de main. Plus tard, les erreurs étaient diverses, mais la pire fut bien sûr de ne jamais écouter son fils. Puis, lorsque Kase fut plus grand, son père avait parfois un peu de mal à faire de l'autorité : il avait tendance à laisser Kase ce qu'il voulait faire, et ce par culpabilité envers un gamin qui n'aurait pas dû être privé de mère. Bien trop souvent, il abandonnait Kase à sa baby-sitter afin de faire des heures supplémentaires pour tenter d'obtenir de quoi réparer et achever la maison qu'ils habitaient. Pour cette raison, Kase voyait peu son père et, parfois, oubliait même qu'il s'agissait de son père. Il n'avait pas l'impression d'être élevé par lui et, pour cette raison, se permettait de le critiquer et de remettre en doute les choix que celui-ci avait fait pour lui.
Lorsque vint le temps de l'école, père et fils n'étaient plus dans la même misère qu'au départ de la mère, mais ils ne vivaient pas dans le luxe pour autant. Dans la salle de bain, le robinet était toujours mal réglé et mettait beaucoup trop de temps à faire s'écouler de l'eau. Les canalisations de la cuisine auraient elles aussi mérité d'être changées, mais tout l'argent était parti dans l'investissement d'une nouvelle literie pour Kase, qui ne pouvait plus se permettre de dormir dans un tout petit lit. Une fenêtre s'était cassée au grenier, mais là encore, il avait été plus urgent de changer le four qui avait rendu l'âme. Et ainsi de suite. Tout était une question de choix difficiles : tant de choses étaient à faire, mais les moyens étaient trop limités pour pallier tous les problèmes qui se posaient à eux. S'ils vivaient au siècle dernier, peut-être auraient-ils eu une chèvre et des toilettes dans la cour comme symbole de la pauvreté. Chez eux, ce symbole était la vieille télévision en ruine, que le père de Kase aurait voulu pouvoir remplacer, mais sans pouvoir le faire, car une nouvelle urgence apparaissait à chaque fois.
À l'école, Kase n'était pas mal accueilli par les autres. Il ne manquait pas d'amis, d'ailleurs, mais ne parvenait pas à les garder longtemps. Déjà versatile, le petit garçon se lassait vite de la compagnie de ses camarades. Malgré ses difficultés à lire et à écrire, Kase était parfaitement à l'aise avec les chiffres ou la géométrie. Il excellait dans tous les exercices de représentation dans l'espace. Lorsqu'il s'agissait de tracer des formes géométriques, il faisait preuve d'une précision et d'une concentration qui ne se retrouvait pas chez les autres enfants. Ainsi, ses résultats paraissaient mitigés : assez médiocres lorsqu'il s'agissait de jouer avec les mots, mais brillant dès que cela touchait le domaine mathématique. Kase était en plus de cela déconcertant, car il ne se rendait compte ni de ses difficultés ni de ses facilités : jamais il n'émettait un jugement sur le niveau de difficulté d'un exercice, mais il disait toujours que ce n'était pas adapté. Adapté à quoi, personne ne le savait au juste, puisqu'il continuait toujours d'employer la forme intransitive comme si elle était la réponse à tous.
Kase fut la connaissance de sa belle-mère quand il avait neuf ans. Il était assis sur le canapé à regarder la petite télévision quand son père avait brusquement coupé le poste pour le forcer à écouter. Cela n'avait pas plus au petit garçon qui s'était mis à crier pour faire revenir l'image. C'était ainsi qu'elle l'avait vu pour la première fois. Elle, cette femme qui allait changer la vie de son père. Elle s'approcha de lui, son parfum embaumant la pièce et ses pas légers comme un songe. Elle avait de beaux yeux et des cheveux méchés, assez courts pour une femme, puisqu'ils dépassaient à peine ses oreilles. Elle s'était mise à son hauteur pour se présenter. Anna. Mais pour Kase, ce serait Nana, parce qu'il n'aimait pas du tout ce prénom.
Les changements apportés par la présence d'une femme à la maison furent incroyables. Cela signifiait tout d'abord un deuxième salaire, puisque Anna travaillait comme femme de ménage à la Bank of England. Mais cela se manifesta aussi par quelques petits détails : la température intérieure était plus agréable, les repas plus équilibrés, et même le robinet de la salle de bain avait été enfin changé. Nana était pleine de douceur avec Kase, même si elle lui rappelait souvent qu'elle ne tenait pas à prendre la place de sa mère : cela assombrissait l'humeur du garçon, qui considérait qu'il n'avait jamais eu de mère. Cependant, elle l'aidait à surmonter ses difficultés en lecture, jusqu'à lui faire atteindre un niveau plus que correct. Et surtout, l'arrivée d'Anna se ressentit sur leur train de vie : ils sortaient un peu plus, terminèrent la maison, et l'époque des choix terribles étaient enfin terminés. Que demander de plus ?
Kase se posait souvent cette question, puisqu'il avait souvent envie d'un plus qu'il ne parvenait pas à nommer. À onze ans, il avait déjà envie de se considérer comme un adolescent, et donc de ne plus tout à fait écouter l'avis des adultes. Ce fut sa première période de remise en question de l'autorité parentale. Il traîna avec des garçons un peu plus âgés qui, comme lui, voulaient se prendre pour des rebelles, même si leur comportement rappelait un peu trop leur innocence encore enfantine. Il essaya l'alcool et la cigarette, mais abandonna vite, car il ne les trouvait pas à son goût. En revanche, Kase n'était attiré par personne. Les filles lui paraissaient insipides et les garçons ennuyeux.
Cela dura quelques longs mois durant lesquels il s'était dit qu'il allait partir de chez lui. Mais à l'évidence, il n'était pas prêt. Il tenait encore trop à son petit confort relatif. Néanmoins, Kase était décidé à sortir, à voir du monde, seulement pour savoir si au delà de son monde, quelque chose pouvait l'intéresser. Pour certains passants, il était étrange de voir ce gamin maigre visiter tous les quartiers londoniens avec l'air d'un touriste, mais sans en avoir l'apparence. Beaucoup se demandaient s'il était perdu et s'il ne cherchait pas ses parents. Kase leur demandait toujours de le laisser tranquille d'un ton assez sec, qu'on ne s'attendait pas de la part d'un garçon de treize ans.
Et puis, ce jour particulier de sa vie. Kase avait fêté ses quinze ans quelques mois plus tôt et s'ennuyait dans la maison familiale. Anna aurait peut-être une promotion d'ici le printemps prochain. Avec toutes les économies que le couple réalisait, ils envisageaient déjà de déménager. Ils voulaient quitter Londres, pour aller vivre à la campagne. Ils en rêvaient tous deux. Kase était dans une période de refus : celle où il disait non à tout, si bien qu'on ne l'écoutait même plus. Son père ne l'avait jamais écouté, de toute façon, mais Nana, elle, était toujours attentive, sauf dans ces moments-là. À présent qu'il était grand, elle osait enfin lui reprocher son égoïsme, ce qui ne plaisait évidemment pas à Kase.
Peut-être ne seraient-ils pas partis, en fin de compte. Kase n'avait pas voulu leur laisser le choix. Un beau matin, il avait rassemblé ses affaires et était parti à l'improviste. Il se lançait dans une nouvelle vie.


On l'appelle Jungle et c'est lui qui a tout appris à Kase. Où dormir la nuit si on ne veut pas avoir froid. Comment faire pour manger lorsqu'on n'a pas beaucoup d'argent. Comment faire la manche. Et ainsi de suite. C'est lui qui a également conseillé à Kase de squatter. Il ne risque pas grand chose, de toute façon, parce qu'il n'a nulle part où aller. On s'en sort toujours. Et puis, s'il le peut, il doit compter sur la générosité des gens qui accepteront de l'héberger. Une ou deux nuits, c'est toujours cela de gagné. Jungle n'a pas demandé à Kase pourquoi il a choisi ce mode de vie : il sait que les raisons ne sont pas celles d'un homme mûr comme lui. Lorsqu'il promulgue ses conseils, quelque chose dans la voix sonne comme une accusation, un appel à retourner chez ses parents tant qu'il était encore temps. Mais Kase ignore si son père et Anna sont toujours dans la maison. Logiquement, ils ne seraient pas partis en lui. Mais il n'a pas confiance en eux et ne conçoit même pas qu'ils puissent s'inquiéter pour lui.
Le premier été est sympathique : il fait chaud le jour, mais l'ombre est assez présente et on trouve facilement de quoi se rafraîchir. La nuit, la température ne descend pas trop, si bien qu'on peut dormir à la belle étoile en se croyant en vacances. Sauf que c'est pour la vie. Les premières habitudes se prennent, en même temps que les premières frayeurs se font connaître ; mais d'une manière ou d'une autre, Kase aime sa vie. Il ne compte sur personne d'autre que lui-même, n'a personne pour lui dire ce qu'il doit faire. Personne non plus pour l'aider, pas même les policiers qui n'ont pas envie de passer de temps sur un cas qui ne trouble pas l'ordre public.
C'est vers l'automne que la fraîcheur s'installe. Kase décide alors de squatter. Grâce aux avis et aux rumeurs de ses comparses, il trouve toujours un endroit où se loger : appartements abandonnés, en travaux, propriétaires en vacances, habitats dangereux ou publics... Tous ne sont pas le grand luxe, mais on y trouve un minimum de confort, dont de l'eau chaude. Kase n'en a pas vraiment besoin, car il a grandi avec l'eau froid, mais c'est un confort qu'il aime bien avoir malgré tout.
Kase se souvient d'un vieux couple chez qui il avait dormi quelques nuits. Ils s'étaient absentés quelques jours pour un événement quelconque à l'autre bout du pays, mais étaient revenus plus tôt que prévu. Ils avaient eu la surprise de constater qu'un jeune squatteur s'était mis au chaud chez eux. Kase avait adoré leur appartement au décor si grandiose : des lustres partout, des meubles de collection et de grandes baies vitrées qui offrait une vue incroyable sur la ville. C'était d'ailleurs là qu'ils l'avaient trouvé. Ils ne s'étaient pas énervés, car ils avaient eu pitié de lui. Ils l'avaient donc laissé dormir chez eux quelques nuits de plus, mais lorsqu'ils avaient cherché à en savoir plus sur lui et à le pousser à revenir chez ses parents, Kase s'était renfermé sur lui-même. Ils avaient voulu l'aider, même le recueillir s'il le souhaitait, mais il n'avait rien trouvé de mieux à faire que de s'enfuir à nouveau. Il revoie encore leurs visages ridés et généreux et se dit que des grands-parents devraient avoir cette apparence.
Mais tout le monde, bien sûr, n'est pas aussi généreux avec lui. Certains en profitent allègrement. Quelques uns veulent mettre Kase dans leur lit, et il accepte, parce qu'il ne voit pas pourquoi refuser. D'autres lui demandent de menus services, qui parfois le mettent en danger. Qu'il doive livrer discrètement un paquet bien secret ou réparer une fenêtre brisée, Kase ne se pose jamais plus de questions que nécessaire. Il fait. Mais si quelqu'un veut lui faire du mal, il part. Sauf une fois. Kase n'a pas pu faire autre chose que rester.
C'est la veille de Noël. Kase traîne encore dehors. C'est la première fois qu'il passe Noël seul et cela le chagrine presque. Il a envie d'être seul et de ne voir personne, parce qu'il sait que personne n'a de cadeau pour lui. Il en a mal au cœur, mais n'est pas prêt à le montrer. Il s'est recroquevillé dans un coin en attendant que la foule rentre enfin chez elle et le laisse tranquille. Il fera le deuil de son ancien vie, mais demain. Kase ne s'attend pas à l'ombre soudaine qui se dessine devant lui. Un homme, semble-t-il, n'est pas décidé à le laisser seul pour cette nuit. Il veut l'héberger chez lui et Kase, avec un soupir, accepte. Il croit que ça le soulagera pour quelques jours, mais il ne s'attend pas à ne pas pouvoir partir.
Cette tendance à l'agripper un peu trop violemment, jusqu'à en laisser des marques qui mettent des jours à partir. Cette tendance à le pousser contre le mur quand il s'énerve, pour un oui ou pour un non – mais à ses yeux, toujours une bonne raison. À dire des menaces qu'il ne mettra jamais à exécution. Mais Kase l'aime bien. Il apprécie son tempérament de feu, honnête et franc. Il se dit que si un jour, il doit s'arrêter quelque part pour changer de vie, il viendrait le voir, lui. Kase ne voulait rester que quelques jours, mais il y avait vécu deux mois. Un jour, l'autre était parti. C'était un criminel qui n'aimait pas rester trop longtemps au même endroit.
Quoiqu'il en soit, Kase a conservé cet appartement en cas de secours, même s'il a du mal à y retourner : cela lui rappelle trop la fascination qu'il a ressentie.
D'autres mois se sont écoulés. Kase a repris sa vie. Toujours à Camden, il attend de trouver quelque chose. La petite perle qui justifie sa vie.


il fallait bien que le masque tombe

~ prénom et petit surnom : cela vaut-il encore la peine que je me présente ? pardon~ âge : le même ~ pays : le même ~ fréquence de connexion : la même ~ niveau de rp : le même ~ première impression sur le forum : la même ~ comment as tu connu le forum ?: toujours pareil ~ double compte : je suis le troisième de la fratrie ~ code du reglement : Ok by Kate (toujours le même quoi ^^) ~ autre petite chose :  ma fiche est nuuuuuuuullle. x)
Revenir en haut Aller en bas

Kate J. Silver

Kate J. Silver


▬ Messages : 143
▬ Arrivé(e) le : 22/06/2013
▬ Points : 28
And More
Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE) Vide
MessageSujet: Re: Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE)   Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE) Empty16.07.13 14:08

Are We The Waiting
express yourself !


Tu es désormais validé(e).
Tu fais donc parti(e) des membres de Are We The Waiting et du groupe Claustrophobic Minds.
Tu peux désormais créer ta fiche de lien par ici puis tu peux aussi chercher un logement et un métier par .
En tant que membre tu peux aussi le forum à évoluer en votant, en postant dans les pubs sur PRD et/ou Bazzart.
Donc voilà Encore merci de ton inscription, et amuse toi bien parmi nous !!!

Revenir en haut Aller en bas

Kase Rivers

Kase Rivers


▬ Messages : 98
▬ Arrivé(e) le : 14/07/2013
▬ Points : 46
And More
Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE) Vide
MessageSujet: Re: Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE)   Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE) Empty16.07.13 15:11

Merci. ♥
Revenir en haut Aller en bas

M. Erin Rosebury

M. Erin Rosebury


▬ Messages : 123
▬ Arrivé(e) le : 05/06/2013
▬ Points : 8
And More

All about you
▬ Your Relationship:
▬ Sujet en cours :
Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE) Vide
MessageSujet: Re: Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE)   Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE) Empty18.07.13 17:12

Re !! Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE) 4251308190  Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE) 3656497651
Revenir en haut Aller en bas
http://www.thirtydreams.tumblr.com


Contenu sponsorisé


And More
Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE) Vide
MessageSujet: Re: Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE)   Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Tu penses trop, et tu ne dis pas ce que tu penses. (KASE)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
ARE WE THE WAITING :: 
WELCOME TO PARADISE.
 :: ♛ Please Allow Me To Introduce Myself. :: ♛ Welcome.
-